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L’entretien correctif vers de l’entretien Preventif

Ainsi dans l’entretien correctif, on retrouve:
Le dépannage qui est une intervention provisoire, le plus souvent immédiate, qui est rendue nécessaire soit par l’absence de pièces de rechange soit pour préparer la réparation définitive.
Ce type de pratique est fréquent en cours de mise au point, de rodage ou au contraire en fin de vie du matériel. Cependant, on effectue souvent du dépannage sur les équipements en vue de pouvoir terminer un cycle de production; ce faisant, on entrave parfois le niveau de sécurité de l’équipement, mettant en péril l’intégrité physique des opérateurs.
La réparation qui est pour ainsi dire l’aboutissement de la maintenance et aussi un très gros pourcentage de ses activités. Le personnel de maintenance n’est que trop souvent surchargé de multiples tâches de réparation désordonnées, mal planifiées, avec des codes de priorité toujours les plus urgents les uns que les autres. On joue alors au pompier en essayant d’éteindre le plus gros feu pendant que s’en rallument dix autres.
Les opérations d’amélioration qui visent avant tout la suppression ou la diminution des pannes et des anomalies. On ne procède alors pas seulement à une simple réparation mais on apporte des modifications à la conception d’origine dans le but d’augmenter la durée de vie des pièces, de réduire la consommation d’énergie, de standardiser des composantes, d’améliorer la maintenabilité, etc.

L’entretien préventif

Dans une stratégie d’entretien globale, an tendra donc vers une diminution des dépannages et des réparations au profit d’activités d’amélioration mais surtout d’entretien préventif structuré. L’entretien préventif peut se réaliser de diverses façois et comprend généralement.

Les routines diverses sur le matériel, les interventions légères de surveillance et de calibration, les corrections mineures ou ajustements réguliers. On y inclut également les rundes de lubrification, de graissage et les vidanges dans le but de réduire les frottements et l’usure, d’éviter le grippage et d’économiser l’énergie.

L’autumaintenance, ou la maintenance effectuée par les opérateurs de l’équipement. On dit souvent que ce sont les opérateurs qui connaissent le mieux leur machine, alors pourquoi ne pas tirer avantage de ce savoir et leur confier certaines tâches qui les responsabiliseraient vis-à-vis leur machine tout en déchargeant le personnel de maintenance pour des interventions plus spécialisées.

L’automnaintenance comprend généralement les réglages simples prévus par le constructeur au moyen d’organes accessibles sans aucun démontage d’équipement, ou échange d’éléments accessibles en toute sécurité.

L’entretien périodique qui implique un échéancier établi en fonction du temps au du nombre de cycles de functionnement. Il comprend un ensemble de tâches d’inspection allant d’une simple vérification visuelle au démontage de cumposantes dans le but d’identifier trat signe d’usure, toute détérioration notable nécessitant une réparation. Il comporte également des tâches prédéfinies, comme le calibrage, le nettoyage, l’ajustement, la lubrification, etc, dont les objectifs sont d’assurer le maintien des conditions et des paramètres de fonctionnement de l’équipement.

Si on ignore la durée de vie des pièces et des composantus de l’équipement, ces visites périodiques imposent très souvent des travaux de maintenance décidés sur le champ ou planifiés dans un avenir rapproché.

L’entretien systématique qui demande également un suivi rigoureux du nombre d’heures au de cycles de fonctionnement. Il exige cependant une bonne connaissance des durées de vie et des caractéristiques de fiabilité des différentes composantca et sous-ensembles car ceux-ci seront remplacés systématiquement. Ce type d’entretien est souvent appliqué aux pièces critiques d’un équipement dont le coût d’indisponibilité est élevé.

L’entretien conditionnel qui est plutôt subordonné à un type d’événement prédéterminé (diagnostic, capteur, signal ou mesure) révélateur de l’état de dégradation. Ce type de maintenance est développé grâce à une meilleure connaissance de l’équipement et de ses causes et modes de défaillance, tout en pouvant corréler leurs apparitions avec un phénomène physique enregistrable. Pour ce faire, on a souvent recours aux analyses prédictives ou prévisionnelles qui permettent d’estimer la tendance évolutive du dysfonctionnement éventuel détecté par un instrument et le temps pendant lequel il est possible de continuer à utiliser l’équipement avant la panne. Par exemple, l’analyse des huiles, l’analyse des vibrations, la thermographie, etc., sont des techniques fréquemment utilisées pour suivre l’évolution de certains paramètres sur un équipement.

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